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Paul Marie Verlaine (1844-1896) był francuskim poetą, uznawanym przede wszystkim za jednego z najwybitniejszych reprezentantów symbolizmu i poezji „końca wieku”, fin de siècle. Jego liryka jest niesamowicie melodyjna, a przy tym nieregularna i swobodna, bliska potocznej francuszczyźnie.
Paul Verlaine. Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l’arbre qu’on voit. Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là. Vient de la ville.
Paul Verlaine (1844–1896 r.) – jeden z najwybitniejszych poetów II połowy XIX wieku, który położył podwaliny pod światową poezję współczesną. Przez swój ekstrawagancki i nihilistyczny styl życia, biseksualne zainteresowania i życie erotyczne, alkoholizm i gorszące zachowania publiczne zaliczany do czołówki tzw. poetów ...
Il vit toujours chez ses parents et, après le décès du père en décembre 1865, chez sa mère avec laquelle il entretiendra une relation de proximité et de violence toute sa vie. Paul Verlaine est aussi très proche de sa chère cousine Élisa, orpheline recueillie dès 1836 [15] et élevée par les Verlaine avec leur fils : il souhaitait ...
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu'en (continuer...) Une sélection de poèmes écrits par Paul Verlaine, célèbre poète et écrivain français né à Metz en 1844 et mort à Paris en 1896.
Verlaine est l’auteur de nombreux recueils poétiques, dans lesquels il applique le principe parnassien de l’art pour l’art, c’est-à-dire le goût d’une poésie sans intentions civiles, morales, politiques, rassemblant en même temps les thèmes les plus répandus de l’avant-garde littéraire de l’époque : le plaisir de l ...
Les pharisiens, les sots, les méchants, pourront commenter avec malveillance cette attraction que, toute sa vie, Verlaine éprouva pour des amis d’élection. La légende dont il porte le poids peut, en apparence, se trouver confirmée par ces élans, presque passionnels, vers des camarades.